Oyez oyez membres de la guilde, je viens vous narrez l'histoire de Djaizu, un des plus célébre sacrieur qu'il m'est jamais été donné de rencontrer.
Djaizu était un bon vivant, qui adorait distribuer des pains à tout le monde et transformer l'eau de son verre en un liquide rouge précieux.
Il né il y a longtemps, dans l'étable d'un féca qui y gardait son troupeau.
C'était un 24 du mois de Descendre, un mois que Djaul avait fait long et froid.
Cependant, si sa naissance est bien singulière, sa mort est encore plus particulière.
Un jour que Djaizu avait invité 11 de ces amis, il fut trahi par le jus d'Ha.
Ce jus si particulier est en effet légérement alcoolisé, mais on ne le découvre qu'après de nombreux verres.Ayant moi-même gouté ce breuvage, je peux vous affirmé que le jus d'Ha est un alcool traitre et vil.
La tablée alors bien éméchée parti vagabonder dans les rues bontariennes, à la recherche de quelques disciples écaflipettes avec lesquelles s'amuser...
Ils tombèrent à la place sur une troupe de iops tout aussi saouls, ce qui ne manqua pas de finir en baguarre.La bande de sacrieurs était malheureusement en minorité, et Djaizu fut enlevé à ses amis.
Les iops avaient en effet décider de jouer avec lui, et ils le clouèrent donc à un panneau indicatif sur une colline.
Plus tard , ses amis le cherchèrent en lui demandant de revenir,croyant que celui ci était faché d'avoir perdu.
C'est d'ailleurs cette anecdote qui inspira le célébre barde Skeunk sa chanson encore connue aujourd'hui:"Djaizu,Djaizu reviens; Djaizu reviens parmi les tiens".
Toujours est-il que,quelques jours plus tard, Djaizu se reveilla en pleine forme et se détacha du panneau en forme de croix.
Les iops, qui le croyaient morts, eurent peur lorsqu'il revint, et ils pensaient tous qu'il avait ressucité gràce à l'aide de la déesse Sacrieur.
C'est de là que vient sa légende et sa toute puissance: de la stupité d'une bande de jeunes iops.
Il mourru quelques années plus tard dans son atelier de menuisier,écrasé par une poutre de frène.
Comme quoi la Nature reprend toujours ses droits.